🤝 La puissance cachée des groupes : pourquoi votre réussite n’est pas qu’une affaire individuelle
On nous a souvent répété que le succès dépend de notre effort personnel, de notre volonté et de notre discipline. Mais cette vision est incomplète. La science du comportement humain montre qu’une grande partie de nos résultats dépend… des groupes auxquels nous appartenons.
Chez Muratum Coaching, nous le voyons chaque jour : les transformations les plus fortes ne viennent pas de la force individuelle, mais de la force collective.
VoilĂ pourquoi nous vous invitons Ă parler de nous autour de vous et Ă nous recommander Ă vos proches!!
🔒 Le piège de l’individualisme
Croire que l’on peut tout résoudre seul est limitant.
Nous sommes en permanence influencés par nos groupes : famille, collègues, amis, communautés en ligne… Même lorsque nous sommes seuls, nous agissons souvent en fonction de ce que nous pensons que « les autres » attendent de nous.
👉 La clé n’est donc pas seulement de travailler sur soi, mais de s’entourer de groupes qui portent nos objectifs.
📏 La règle du 60-30-10
Le chercheur Colin a montré que la performance d’un groupe dépend :
60 % de sa structure (objectifs, composition, tâches) avant même la première rencontre.
30 % de ce qui se passe lors de la première réunion.
Seulement 10 % peut être modifié par la suite.
👉 En clair : les bases posées dès le départ sont déterminantes.
🛡️ La sécurité psychologique : un socle indispensable
Un groupe ne donne sa pleine puissance que si chacun s’y sent en sécurité pour :
poser des questions,
admettre ses erreurs,
partager des idées,
exprimer un désaccord avec respect.
Sans ce climat, mĂŞme les groupes les plus talentueux sous-performent.
🔑 Les différences qui comptent
Individuel vs. collectif → la volonté seule a ses limites, les normes du groupe créent la stabilité.
Compétition vs. collaboration → « moi contre toi » fragilise, « nous contre le problème » fait avancer.
Conflit de tâche vs. conflit relationnel → débattre d’idées enrichit, attaquer la personne détruit.
Objectifs instrumentaux vs. socio-émotionnels → accomplir des tâches compte, mais se sentir valorisé et soutenu est essentiel.
❓ Questions de réflexion
Quels groupes influencent mon comportement au quotidien (famille, travail, sport, amis) ?
Dans mes groupes, est-ce que je parle tôt et pose des questions, ou est-ce que j’attends les autres ?
Vivons-nous nos défis comme « nous contre le problème » ou comme une compétition interne ?
Quelles nouvelles normes pourrais-je encourager dans mes groupes ?
Est-ce que j’essaie de résoudre certains problèmes seul alors qu’un groupe de soutien pourrait m’aider ?
🛠️ Outils pratiques à tester
Protocole du premier meeting : dans un nouveau groupe, établissez dès le départ des comportements positifs (poser des questions, encourager la participation).
Relancer un groupe : si les normes actuelles bloquent, changez le cadre, redéfinissez les règles et créez un nouvel élan.
Compter les questions : dans vos réunions, observez combien de questions circulent. Peu de questions = manque de sécurité psychologique.
🧠Application concrète
Évaluer vos groupes actuels → Est-ce qu’ils favorisent la participation, la sécurité et la collaboration ?
Choisir votre stratégie d’influence → En leader, structurez. En membre, montrez l’exemple.
Adopter le mindset “nous contre le problème” → chaque désaccord devient un défi collectif.
Rejoindre des groupes alignés avec vos objectifs → santé, sport, nutrition, projets pro.
Créer de nouveaux groupes si aucun n’existe.
âś… Les points Ă retenir
Nos groupes nous façonnent plus que nous le pensons.
La taille idéale d’un groupe est de 4 à 5 personnes pour une participation équilibrée.
Les premières interactions sont décisives.
La sécurité psychologique est fragile mais essentielle.
Beaucoup de défis se résolvent mieux à plusieurs que seul.
Passer de « moi contre toi » à « nous contre le problème » change tout.
Se connecter aux autres est une compétence, au même titre que bouger, manger, penser ou dormir.
👉 Chez Muratum Coaching, nous savons qu’au-delà des entraînements, c’est la force de la communauté qui fait toute la différence.
Et vous, dans vos groupes – famille, travail, sport – êtes-vous en train de cultiver la compétition ou la collaboration ?